Archives de catégorie : 5. Instrument seul et/ou sons fixés ou électronique

Cuento perpetuo (2019)

pour marimba et électronique.

Dédiée à Laurent Mariusse

 

Commande du GMEM – Centre National de Création Musicale.

Réalisation informatique – Luis Naón et Charles Bascou

Créée lors du Festival Les Musiques à Marseille le 15 juin 2019 au Temple Grignan.

Editions Babelscores


Cuento perpetuo, littéralement conte perpétuel, est une pièce qui se raconte, inlassablement, avec une cadence proche de la scansion, de la parole.

Le Marimba est virtuose et idiomatique. On aura l’impression qu’il s’invente, en temps réel, un monde rapsodique et volubile, en faisant jaillir dans l’espace électroacoustique ses contradictions, ellipses et réponses à sa propre prosodie.

Le matériau de l’œuvre est en constante alternance et dialogue. Ses deux composantes, l’électronique et l’instrument, ne cessent jamais de produire de l’invention, instant par instant. Le devenir est comme celui d’une boucle qui ne se lasserait jamais de se renouveler, se réinventer, se redéfinir. La forme qui en résulte est l’évidence de ce parcours, comme si rien n’avait été dit en vain, à côté, en trop, en deçà,

Luis Naón


 

Nómade – Móvil (2018)

(Nomade – Mobile)
pour mandoloncelle et sons fixés.

Créée le 22 Juillet 2018 au Vieux Château de Vicq sur Breuilh

À Florentino Calvo


La thématique développée par Florentino Calvo autour de ce projet est centrée sur l’exil. L’exil peut être une punition (dans l’empire Romain les citoyens frappes d’Ostracisme devais quitter leur lieux habituel de vie) mais il peut également ouvrir un espace de tous les possibles. C’est cette vision là du départ (forcé ou volontaire) que j’ai voulu souligner dans Nomade-Mobile, qui, par son titre nous laisse entrevoir la richesse des concomitances, rencontres et doublures. La partie électronique de la pièce, réalisée à partir de sons de oud et mandoloncelle, est une sorte de trace, découverte et inouï de celle de l’instrumentiste, protagoniste de l’exploit.


Fiche technique :

La partie électroacoustique de cette pièce a été conçue pour être l’équivalent et le prolongement des sons de l’instrument.

Les sons fixés peuvent être diffusé en stéréo autour (ou légèrement derrière) l’instrument. Il faut veiller à une amplification (voire une petite réverbération) en adéquation avec la salle de concert.


Clairière II (2013) (Urbana 14.b)

Pour clarinette seule

Durée : circa 6 min 40
Pour le clarinettiste Philippe Berrod.

Il s’agit d’une version pour clarinette sib seule, sensiblement raccourcie de Clairière.

Version réalisée à la demande du dédicataire Philippe Berrod.
Elle lui est également dédiée et publiée chez Babelscores.



Clairière – Luis Naón
Elodie Roudet, clarinette


[ Cycle Urbana ]
[ Instrument seul et/ou bande magnétique ou électronique ]

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Portraits crachés (Urbana 13) (2013)

Portraits Crachés  (Urbana 13) (2013)
pour accordéon, 2 percussions et sons fixés.
Sur des textes de Yves Pagès.

pc

Prière d’insérer ces sans dialogue fixe, omis de la première heure, caractères jamais imprimés, pseudo-pseudos, prépilonnés d’office, dyslexiques sexuels, oisifs inter-cérébraux, incompossibles mutuels, fausses notes en bas de page,… sociétaires du pestacle, personnages en fin de droits, , petites natures mortes au travail, sculpteurs sans statut…

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Trois pièces pour quatre timbales. (2007) (Urbana 5b)

Trois pièces pour quatre timbales.

dédiée Guillaume Lantonnet et à Jean Geoffroy

Cette œuvre est en filiation directe avec Obertura Urbana, concerto pour bandonéon et orchestre (Urbana 4) dont j’ai extrait la partie de timbale du premier mouvement. Celle-ci, devenue la première de ces trois pièces, a été le point de départ d’un nouveau travail.

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