Pour alto et sons fixés.
12′ 58″
Commande de l’Etat et de l’INA-GRM.
Archives de catégorie : 1. Cycle : Urbana
Diagonal (1999) (Urbana 18)
Pour octuor : Flûte, Clarinette, Bandonéon, 2 Violons, Alto , Violoncelle et Contrebasse.
Commande de l’Orchestre de Paris.
à la mémoire de mon père.
Je travaille depuis quelques années sur un cycle de 24 œuvres qui, sous le titre générique de URBANAS, ont une relation avec la ville.
Urbana (1997-98) (Urbana 1)
pour accordéon, percussion et dispositif temps réel
Commande de l’IRCAM et du Centre Georges Pompidou
Urbana .
adjectif . relatif à la ville
substantif pluriel
Urbana (substantif pluriel) est un cycle de 24 œuvres liées entre elles par une préoccupation sur l’espace, le lieu de concert, la culture des villes, les villes emblèmes, l’architecture, l’archéologie du signe.
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Lettre inachevée (1997) (Urbana 3)
Pour vibraphone.
C’est une œuvre complémentaire de Claustrum, pour percussion et bande magnétique.
Éditions Lemoine.
Amor a Roma (1997) (Urbana 12.a)
Pour mezzo-soprano et piano.
Cinq chansons sur des textes de C.E.Feiling
Claustrum (1996-97) (Urbana 6)
Pour percussion et sons fixés.
Commande de l’INA-G.R.M.
Créée par Jean Geoffroy à la Salle Olivier Messiæn le 19 Mai 1997.
durée : 18 minutes.
Dédiée à mon fils Rodrigo et à Jean Geoffroy.
Requiem pour un Bookmaker chinois (1995-96) (Urbana16)
(1996 version française révisé et traduite à l’espagnol en 2000 )
Opéra-revue pour Flûte, Clarinette, Cor, Violon, Alto, Violoncelle, Percussion, Synthétiseur (Piano) six acteurs-chanteurs et Bande Magnétique.
Commande de l’État.
Durée : 1 heure.
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Sextuor « . » (1994-95) (Urbana 25)
Pour trio de clarinettes et trio à cordes
Commande de l’ensemble TM+
Les différentes motivations de composition de sextuor, et les langages utilisés pour la mettre en pratique, (langages qui peuvent paraître, à première vue, capricieux ou antinomiques) conforment une sorte de voyage qu’est, finalement, l’œuvre elle même. Dans le voyage cristallisent les idées, sans que priment pour autant, les étapes ou les paysages traversés. Ce qui importe c’est que d’un souvenir lointain puisse naître une œuvre nouvelle.
Ka, Cinq poèmes musicaux (1993-94) (Urbana 7.a)
Pour clarinette, cor, violon, violoncelle, percussion et deux synthétiseurs.
Commande de l’Etat.
Durée : 22 minutes.
Il n’existe pas d’enregistrement de cette version.
Création en février 1995 par l’Ensemble TM+.
Il existe trois versions de KA.
KA (93-94)
Ka II (2007) pour Flûte, Clarinette, 2 saxophones, percussion et électronique.
Ka III (2015) pour Flûte, Clarinette, Violon, Violoncelle et électronique.
À l’époque de la création de cette pièce, j’avais en tête une idée qui, je crois, reste toujours d’actualité dans la relation avec d’autres formes d’art. Le secret espoir était que ces pièces inspirent cinq poèmes (de vrais poèmes, avec des paroles, cinq tableaux, un film). Cette espérance naît de la solitude.
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La sphère et la pierre (1994) (Urbana 8)
Pour sons fixés.
Commande de l’INA-GRM.
Deux idées ont été à l’origine de la composition de cette œuvre. La première je la dois à l’Aleph de Jorge Luis Borges : “… Un Aleph est un lieu où se retrouvent, sans se confondre, tous les endroits de l’univers vus simultanément de tous les angles possibles. … Les fidèles qui assistent à la Mosquée de Amr, au Caire, savent très bien que l’univers est à l’intérieur de l’une de colonnes de pierre qui bordent la cour centrale … Personne, c’est évident, n’a pu le voir, mais ceux qui approchent leur oreille de la surface, disent percevoir, peu de temps après, sa rumeur affairée …”
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