For an instrument and electronic.
Commissioned by the IRCAM – Centre Georges Pompidou.
Caprices 1 & 2 for violin and live electronics.
Caprices 3 & 4 for bass clarinet and live electronics.
Caprices 5 & 6 for percussion and live electronics.
For an instrument and electronic.
Commissioned by the IRCAM – Centre Georges Pompidou.
Caprices 1 & 2 for violin and live electronics.
Caprices 3 & 4 for bass clarinet and live electronics.
Caprices 5 & 6 for percussion and live electronics.
For Soprano, Mezzosoprano, 2 clarinets, horn, violin, viola, cello, double bass and electronic.
Commissioned by the State of France for the Ensemble Itinéraire.
Circa 27 minutes.
Fermata is the last piece of the Urbana cycle, which officially started in 1998 and that includes prior works. The oldest, “Más allá del rojo” is from 1991. The cycle has 25 pieces (24+1) which range from electroacoustics and soloist with electronics to chamber music, chamber opera, monodrama and orchestra.
Portraits Crachés (Urbana 13) (2013)
Faithful (scratched) Portraits
For acordeon, 2 percussions, fixed sound and video projection.
Drawings by Abel Robino, video by Diego Pittaluga.
Based on texts by Yves Pages
Commissioned by INA-GRM. Released in Radio France on 11 May 2013.
Images by Abel Robino and Diego Pittaluga.
Prière d’insérer ces sans dialogue fixe, omis de la première heure, caractères jamais imprimés, pseudo-pseudos, prépilonnés d’office, dyslexiques sexuels, oisifs inter-cérébraux, incompossibles mutuels, fausses notes en bas de page,… sociétaires du pestacle, personnages en fin de droits, , petites natures mortes au travail, sculpteurs sans statut…
© Nicolás Acuña
This cycle includes 24 + 1 compositions.
The goals of this cycle, in no particular order, are:
The 24 + 1 pieces of Urbana Cycle
U1 |
Lascaux Urbana U2.b Lascaux (Expérience) |
Lettre inachevée U3 |
Quatuor à cordes (roue-étoile) U4 |
|
U6 |
Ka II |
U8 |
U9 |
U10 |
6 Caprices U11 |
Amor a Roma U12.a U12.b |
Sextuor « . » U25 |
Portraits U13 |
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U15 |
Requiem pour un Bookmaker chinois U16 |
U17 |
U18 |
U19 |
U20 |
U21 |
U22 |
U23 |
U24 |
(action bellico-psichiatrique)
Pour récitant, soprano, saxophone alto, bass fretless, percussion, électronique et images vidéo.
Sur des textes de Martin Dubini
L’origine de ce pari est de reprendre de nouveaux chemins pour une forme scénique. Le TACEC (Teatro Argentino de La Plata), nous a confié cette aventure.
Personne ne sait si l’opéra est toujours en vie, mort ou à l’agonie. Que se passe-t-il lorsque l’on propose une la cohabitation d’un texte, d’une musique, des images ? Se quoi s’agit-il ?
La proposition de Blister, est, pour commencer un dispositif dans lequel les trois formes artistiques partagent un espace, une ébauche de sens, une ellipse.
Sur scène, le quatuor, composé d’une voix de soprano, un saxe alto, une basse fretless et une percussion, compte sur l’action invisible d’une électronique qui se déploie dans l’espace et une vidéo bien visible. Les musiciens commentent ou s’opposent à la sémantique des textes dits par un acteur / récitant.
Si la musique occupe la scène, polluée délibérément par des images (images poubelle), la voix parlée provient de différents lieux aussi réels qu’imaginaires.
Tout ressemble au bord supérieur d’une tranchée mais nous ne savons pas de quel côté de celle-ci nous sommes. Il y a une diffuse distinction dans le statut des détonations. Il s’agit de plusieurs manières de ne pas traverser une frontière pour poursuivre ainsi la chute.
Créée au TACEC – Teatro Argentino de La Plata le 11 juillet 2019.
Récitant : Martin Dubini
Images : Leonardo Balistrieri
Soprano : Maria Bugallo
Saxophone : Bera Romairone
Bass fretless (et guitare) : Juan Negri
Percussion : Bruno Lobianco
pour marimba et électronique.
Dédiée à Laurent Mariusse
Commande du GMEM – Centre National de Création Musicale.
Réalisation informatique – Luis Naón et Charles Bascou
Créée lors du Festival Les Musiques à Marseille le 15 juin 2019 au Temple Grignan.
Editions Babelscores
Cuento perpetuo, littéralement conte perpétuel, est une pièce qui se raconte, inlassablement, avec une cadence proche de la scansion, de la parole.
Le Marimba est virtuose et idiomatique. On aura l’impression qu’il s’invente, en temps réel, un monde rapsodique et volubile, en faisant jaillir dans l’espace électroacoustique ses contradictions, ellipses et réponses à sa propre prosodie.
Le matériau de l’œuvre est en constante alternance et dialogue. Ses deux composantes, l’électronique et l’instrument, ne cessent jamais de produire de l’invention, instant par instant. Le devenir est comme celui d’une boucle qui ne se lasserait jamais de se renouveler, se réinventer, se redéfinir. La forme qui en résulte est l’évidence de ce parcours, comme si rien n’avait été dit en vain, à côté, en trop, en deçà,
Luis Naón